à AbitibiBowater.
Si je lis ceci, je ne peux faire autrement qu’être en accord avec ce qui suit.
Quand il y a des pertes, évidemment c'est la faute à personne. Par contre, quand il y a des profits, c'est grâce à leur génie, leur sens des affaires, leur vision, leur compétence, leur talent sans limites. À ce moment-là, ils empochent sans vergogne les primes au rendement qu'ils se sont votées entre eux. Ils s'empiffrent comme des cochons vautrés dans l'auge collective.
Pierre Falardeau
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