Quand j’étais jeune, j’aimais lire les journaux, écouter les
informations à la radio et à la télévision quand elles nous étaient transmises sans
commentaires. Nous nous faisions une idée nous-mêmes, sans que personne ne nous
tienne la main (la pensée).
Aujourd’hui, malgré mes 65 ans, je me sens comme un oisillon
dans le nid, nourri par les régurgitations des médias.
Actuellement, nous avons droit à 30 minutes d’informations pour
des heures de commentaires. Que ce soit des « ex », des « istes », fédéralistes
et indépendantistes, la plupart du temps de la première catégorie en mission
pour leur propriétaire comme La Presse des Desmarais et Radio-Cadenas.
Il est devenu impossible de recevoir de l’information, sans
qu’elle soit prémâchée, avalée et déglutie.
Mon impatience s’arrête ici.
Bien le bonjour!
Lo x
2 commentaires:
T'as bien raison cousin.
Merci Richard!
Lawrence
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