Je me sens comme dans le film « Il danse avec les
loups », mais moi, c’est avec ma souffleuse à neige.
Recule, avance, tourne le cornet, un slow cochon, une valse,
une samba, nous suivons le rythme des chutes de neige, collés.
Lorsque vient le temps de la ranger dans le cabanon, j’ai le
cœur gros, je suis triste. Je vois des larmes suinter le long de son réservoir
à essence, son cornet baisse de tristesse. On se fait la bise. Le reste se
passe dans le cabanon, entre elle et moi.
Ouf! J’hallucine! Vivement le beau temps!
Lo x
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