Je devais monter une pente abrupte pour
retrouver la route. Le chemin à prendre avec ma voiture était plus
une trail qu’autre chose. Trous, ornières très creuses, buttes, rochers; pas le
choix, il me fallait faire une reconnaissance à pied.
Je gravis la pente avec beaucoup de
difficultés.
Rendu au sommet, je jetai un coup d’oeil.
Ouf! De l’autre côté, il y avait un précipice sans fond. N’eût été ma prudence,
je serais tombé dans ce trou.
Avant de redescendre, je crus entendre une
douce voix, un murmure amoureux. J’ouvre un oeil. Marlène qui me demande si je
veux un ou deux cafés.
Bonheur. Retour à la réalité.
Je déteste les cauchemars.
Lo x
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