Me v’là ti pas encore pris avec un flat. Pas à ma voiture,
mais à mon corps.
J’ai fait de la photo pour le groupe Sweet 60 vendredi et samedi et
le fait de rester longtemps debout a enflammé ma guibole droite. Je marche
comme si j’avais une jambe de bois. Je boite, je claudique, je traîne cette
jambe comme un boulet.
Eh oui, je suis en train de me lamenter, afin d’obtenir
votre compassion, pour vérifier si c’est aussi efficace que les
anti-inflammatoires, car je ne peux pas prendre ce genre de médoc à cause de
problème d’estomac. Je suis dans un cul-de-sac.
Quoi qu’on en dise, en vieillissant, on est prisonnier de
notre corps. S’il y a des parties qui s’enrayent, on doit faire avec.
Mes nuits sont difficiles, chaque petit déplacement couché
me fait mal et me réveille.
La solution temporaire se trouve dans votre compassion, dans
la glace, le sac magique, le Voltaren et le repos.
Tout ça en pleine période de préparation de la maison pour
l’hiver. Alors Marlène : « Aux outils! »
Dès la première heure, je communique avec la secrétaire de
mon médecin, car il n’est jamais libre, et je lui demande de me donner un
papier d’arrêt de travail pour me ménager de l’aspirateur mercredi.
P.-S. Il faut bien que
je profite un peu de la faiblesse de mes charnières.
Lo x
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