En
cette avant-veille de la Fête nationale du Québec et pour accompagner la
photographie plus bas, voici cinq pensées incluant le mot coopération.
— Le plus grand plaisir humain est sans
doute dans un travail difficile et libre fait en coopération, comme les jeux le font assez voir. Il y a des pédagogues
qui rendraient les enfants paresseux pour toute la vie, simplement parce qu'ils
veulent que tout le temps soit occupé. Alain
— [...] dans la nouvelle économie, les
véritables employeurs ne sont pas les entreprises en elles-mêmes, mais les
projets montés en interne ou en coopération
avec d'autres sociétés. Pekka Himanen
— Disons-le clairement, c'est-à-dire de
manière pédagogique : une société humaine dépourvue de violence serait une
société parfaitement inerte. C'est un fait fondamental que n'importe quel
éducateur doit prendre en compte avant de commencer à traiter le sujet. Ce
n'est pas un phénomène pervers, inexplicable et venu d'on ne sait quel monde
diabolique, c'est une composante de notre condition, qui doit être
rationnellement compensée et adoucie par l'usage de tendances non moins
naturelles à la coopération, à la
fraternité, à l'organisation pacifique du monde. De fait, la plus belle vertu
de notre condition violente est qu'elle nous apprend à craindre la violence et
à apprécier les institutions qui nous enjoignent d'y renoncer. Fernando Savater
— La vie est une association passée avec le
hasard. Nous apportons notre nom, notre argent, notre famille, nos relations,
nos capacités, nos projets, nos rêves; le hasard nous apporte sa coopération féconde ou meurtrière. Louis Dumur
— Dès l'instant que nous écartons l'idée
d'autorité, nous nous trouvons associés les uns aux autres, et alors la coopération et l'affection mutuelle
deviennent possibles. Jiddu Krishnamurti
Lo x
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