Après
la mort, la vie.
La lune éclaire la ville endormie
Les lampadaires illuminent
sentiers et trottoirs désertés.
La fumée blanche des cheminées
Monte en flèche vers les étoiles
Tandis qu'Éole somnole.
Seul bruit ouï, la bagnole d'un
couche-tard.
Dans ce pullulement de corps célestes,
une étoile filante?
Plutôt un avion gros porteur
Débordant de somnolents
passagers.
Une ombre chinoise contraste
En la fenêtre éclairée d'une
maison
C'est l'insomniaque scribouillant
ces mots.
L'astre du jour comme le coq
Éveillera les dormeurs assoupis.
Après
la nuit, le jour.
Lo
x
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