15 octobre 2012

De Brassens…


— On a toujours massacré, on a toujours pendu, on a toujours empoisonné, on a toujours torturé des gens… pour changer le monde. Et il n’a jamais changé!

— Si tous les êtres avaient un esprit de tolérance, la liberté irait de soi.

— Ce n’est pas le gendarme lui-même qui me gêne, c’est ce qu’il représente.

— Les mots sont comme les enfants: ils ne naissent pas exactement au moment souhaité.

Georges Brassens, Les chemins qui ne mènent pas à Rome

Aucun commentaire: