Un vent souffle sur les nuages
Les transformant en aurores boréales
veloutées.
Un monarque zigzague de roses en rudbeckies.
Une odeur de sapinage et d'humus forestier
Embaume le quartier.
Une grosse libellule se chamaille avec un
colibri,
Leurs boudonnements extirpent mes yeux d'un
roman envahissant.
Septembre, la charnière entre été et
automne,
Pousse les enfants à l'école et les
migrateurs vers le sud,
Et prend sa place.
Lo x
1 commentaire:
Est-il bien et pour le vrai " parti " ce Narcisse ?
G.B.
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