16 mai 2012

Comme un train…

Je la sens venir; sans mettre mon oreille sur les rails, je sens la terre trembler, le son du fer sur fer, le poids de l'abus du pouvoir.

Je l'appréhende, la déteste, la trouve si injuste.

La loi spéciale du parrain Charest et de ses parasites se pointe à l'horizon, tel un train sans conducteur; elle bousculera tout sur son passage, amitiés, paix sociale, pour ne créer que division, diversion et rage d'injustice.

Rage et tristesse ne font pas bon mélange. Je déteste tant l'injustice et l'hypocrisie, ces mots qui définissent ce gouvernement.

Ce qui est encore plus corrosif, c'est de prendre conscience qu'autant de personnes appuient ce gouvernement putrescent.

Lo x

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Bonsoir Laurence ! Je viens de lire ceci dans Cyberpresse et je ne peux m'empêcher de vous le transmettre. Citation de la part de votre " Climent ". À nous de la lire au delà du premier degré . G.B.

«On va pouvoir comparer ce projet de loi à celui de Lise Thériault sur l'intimidation, mettre de l'ordre sur les chantiers de construction, on va mettre de l'ordre sur les campus, cesser l'intimidation», a déclaré Clément Gignac. «Ce ne seront pas les leaders étudiants ou syndicaux qui vont gouverner le Québec. Si vous voulez gouverner le Québec, mettez votre face sur un poteau et faites-vous élire. En démocratie si on veut renverser le gouvernement, ce n'est pas dans le cadre d'une insurrection, mais d'une élection !» a conclu le ministre Gignac.

Lawrence a dit...

Bonsoir! Les propos de ce cher Clémint ne me surprennent pas. Ils sont loin d'être cléments.

Lorsque cette loi dictatoriale sera bâillonnée, nous aurons reculé de cinquante ans.

La machine libérale en est une à remonter le temps.

Je suis en sinsifflette!

Lo x