Avec à ses commandes Bashar al-Assad, le gouvernement syrien bombarde la ville de Homs, haut lieu de la contestation du régime.
Les journalistes étrangers, témoins de ce massacre, meurent. La population souffre par manque de nourriture et de soins. Quotidiennement, les agences de presse annoncent en chiffre, le nombre de morts dans Homs; tout cela devient dangereusement routinier.
Homs est la table d'échec des puissances étrangères.
D'un côté, il y a les pays occidentaux (Europe, États-Unis, Canada) et de l'autre, la Russie, la Chine et l'Iran.
Sur le terrain (la table d'échec), tous les jours, la guerre s'exprime dans d'atroces souffrances avant de trouver sa finalité dans la mort.
Les guerres se répètent depuis le Cro-Magnon et le Néandertal.
Il me semble que l'Humain avec un grand H n'apprend pas de ses erreurs…
Lo x
Dans la guerre, on n'a plus besoin de montres. La faim renseigne très bien sur l'heure. La peur fait sonner chaque seconde, mieux que des aiguilles. Christian Bobin
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