Lu sur Courrier international
— La prison, pas le bagne. Deux paons, dix-neuf prostituées et une centaine de coqs de combat ont été découverts dans une prison d’Acapulco, au Mexique, lors d’une descente de police. Les forces de l’ordre ont également mis la main sur des armes blanches et deux sacs de marijuana, rapporte la Jornada. L’opération a mobilisé plus de 500 policiers. Soixante détenus ont été transférés du Centro de readaptación social (Cereso) vers divers établissements de haute sécurité.
— Flippant. Deux dauphins sont morts dans un delphinarium suisse, le Connyland de Lipperswill. « L’association allemande de protection des baleines et dauphins WDSF avait dénoncé l’organisation, il y a deux semaines, d’une fête techno près du delphinarium. Selon elle, le système immunitaire des animaux a pu être endommagé par la musique », écrit le quotidien La Liberté.
— En campagne électorale. En Égypte, une candidate du parti salafiste Al-Nour mène sa campagne d’une manière très originale : au lieu d’apparaître sur ses affiches électorales, elle y a fait imprimer une photo de son mari. Marwa Ibrahim Al-Qamash, qui se présente dans la province d’Ad-Daqahliyah, utilisait initialement des affiches représentant une fleur, mais, après la publication de remarques sarcastiques sur Twitter, elle a remplacé la fleur par le visage de son mari. Les Égyptiens n’en ont pas moins continué de la tourner en dérision. La candidate aurait, dit-on, un diplôme en études islamiques. L’Égypte compte aujourd’hui quatorze partis islamistes, beaucoup plus que du temps de Hosni Moubarak, où ils étaient interdits. La plupart des salafistes égyptiennes couvrent leur visage en public.
— C’est du propre! Une femme de ménage zélée a récuré énergiquement le fond d’une bassine en caoutchouc au musée Ostwall de Dortmund. Malheureusement, celle-ci faisait partie d’une œuvre d’art – une installation de Martin Kippenberger, évaluée à 800 000 euros. Wenn’s angängt durch die Decke zu tropfen (Quand le plafond commence à fuir) est à jamais endommagée, estime le musée. La technicienne de surface, qui a confessé en larmes à son employeur « ce moment d’inattention », ne sera pas sanctionnée, note Der Westen. Le règlement du musée interdit au personnel de nettoyage de s’approcher à plus de 20 centimètres des œuvres. Mais la malheureuse « a été assez punie comme ça, elle a la honte de sa vie », a déclaré le chef de la société d’entretien, Frank Schwake.
Lo x
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