J’ai continué de les noter en fin de semaine.
Tout bien réfléchit, j’abandonne. Inintéressant, ennuyeux, insipide, vide, mensonger, irréel. Du vent, de l’air.
Quelle platitude! Voilà pour les élections.
Parce que je vous aime, je vous offre ces réflexions de Félix Leclerc, tiré de son livre Le calepin d’un flâneur. Je vois un certain rapport avec mon ennui face aux élections.
Voici la première :
Trois fois plus d’eau que de terre.
Trois fois plus de paroles que d’actes.
Un champ suffit au bonheur du sage.
Voilà la deuxième :
L’ambition est une île dans la mer qui recule à mesure que le nageur avance.
Lo x
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