27 avril 2011

Désintégrée…

Je l’ai attaquée de front. Sans peur, sans regret.

Finis son occupation, sa dictature. Terminé la couleur grisâtre qu’elle dégage depuis trop longtemps.

Armé jusqu’aux dents, bien chaussé, je me suis jeté sur elle, à coups de pelles répétées, je l’ai étendue avec vigueur, rage, presque désespoir.

Sale neige printanière, j’te demande pardon, mais je n’en pouvais plus!

Lo x

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Coudonc !

Y'a donc encore beaucoup de vie dans cette " soixantaine " que ,j'appelle ..." Soixancrainte ".. Que feriez-vous à Montréal...une bataille sans fin de nuages et parapluies, de flaques d'eau et de désespoirs au puriel ponctués de désillusions politiques, Ayoye tu me fais mal..... ?

Voyons Lawrence vous savez bien que notre pays nordique est un tel exercice de patience qui fut, a été, puis est encore , en outre, une source de poésie.

Pas fine à dire : " Mais oui crisse c'est donc bien long avant de renaître !!!!!

Rendez-vous dans un mois 27 mai, quel temps fera-t-il chez vous ???

Puis où est donc votre "beau chat " , y'a longtemps que nous l'avons vu ???

G.B.

Lawrence a dit...

Bonjour Ginette. Ici les nuages et les vents automnaux dominent le quotidien depuis deux jours. Je désespère de chevaucher mon vélo...

À propos du chat, c’est celui de mes amis Jojo et Louis.

Pour ce qui est de la politique, je dois avouer que je doute souvent de l’intelligence des gens influençables…

Merci de vos visites et bonne journée.

Lo x