- Il fuyait la misère comme on fuit la police. Quand même, elle l’a rejoint vers l’âge de cinquante ans.
- On parque sa première auto sous la fenêtre pour l’apercevoir au réveil.
- « J’ai mûri mon âme », pour « j’ai réfléchi ». (Mon père)
- Il traîne à l’arrière, ou il court devant, parfois il marche un petit moment à nos côtés. (Le bonheur)
- Il y a des poètes qui travaillent avec des plans, d’autres sans plans, d’autres pas du tout.
- Un savant place cette annonce dans le journal : « Échangerais tout ce que je sais pour ignorance. » Un ignorant se présente, ils échangent leur place. Le savant meurt d’ennui et l’ignorant de peur.
Le calepin d’un flâneur, Félix Leclerc.
Lo x
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