Ce jeu créé à Montréal par Ubisoft est en ce moment mon pire ennemi. J’y passe trop de temps à mon goût.
J’ai acheté le premier de la série il y a de ça quelques années; je me suis procuré le second deux années plus tard. Je viens tout juste d’acquérir le troisième opus, Assassin’s Creed Brotherhood.
Au Centre jeunesse, où je travaillais, j’ai reçu un montant de 10 $ par année de service à ma prise de retraite. Avec cet argent je devais m’acheter un cadeau; mon choix s’est dirigé vers une console de jeu PlayStation 3. En plus de jouer à des jeux, je peux m’en servir comme lecteur Blu-ray.
Assassin’s Creed est le genre de jeux qui a une évolution lente et qui te pousse à aller voir plus loin; ça devient difficile d’arrêter de jouer.
Le tout dernier, Brotherhood, est un véritable chef-d’œuvre, au niveau du scénario et des graphiques. Les graphistes d’Ubisoft ont recréé la Rome antique. Quel résultat étonnant!
Je suis rendu à la moitié du jeu et mon comportement me rappelle ce que je faisais quand j’étais tout petit et que j’avais des bonbons; j’économise mon plaisir afin qu’il dure plus longtemps.
En conclusion, les graphistes québécois ont la cote et leur excellence est maintenant reconnue partout sur la planète. Bravo!
Lo x
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