Je demande pardon à Bob Gainey, à genoux sur une poignée de clous. Moi qui ai toujours critiqué ses décisions, je dois reconnaître qu’il avait raison et que j’avais tort.
C’est le club qu’il a bâti (moins Dominic Moore) qui gagne actuellement. Dépêchez-vous de me pardonner m’sieu Gainey, les clous sur les genoux, c’est douloureux.
Lo x
Aucun commentaire:
Publier un commentaire