C’est le titre du dernier album de Yann Perreau et il décrit bien l’œuvre. Plein de tendre poésie et d’amour, avec un regard réaliste sur ce qui se passe de nos jours.
Ce que j’aime : les textes intelligents, la poésie, le sens mélodique inné chez Yann Perreau, la présence du piano. Je crois que c’est son disque le plus accompli. Il y a des chansons avec du rythme, qui me transporte (je survole l’asphalte lorsque j’écoute ça en marchant), comme Le président danse autrement, L’amour se meurt, Conduis-moi, Beau comme on s’aime, Le bruit des bottes et Le pays d’où je viens. Puis il y a les douceurs, les tendresses, comme Invente une langue pour me nommer, La chanson la moins finie, L’ange sur la mezzanine.
J’aime beaucoup l’originalité, l’exotisme et une connotation sonore bouddhiste de la neuvième sur le disque, Le marcheur rapide.
Bravo Yann Perreau.
Pour ceux que ça intéresse, il y a les critiques des spécialistes Philippe Meilleur, Philippe Rezzonico, Philippe Renault.
Lo x
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