25 novembre 2008

M’mande pardon m’sieur charest…

-M’mande pardon m’sieur charest, je suis incapable de voir d’autres raisons à cette élection, que votre maladie du pouvoir.

-M’mande pardon m’sieur charest, je crois que vous êtes un fieffé menteur, un hypocrite et un politicailleux. Je vous sens plus près de l’establishment financier et du conseil du patronat, que de la misère et la pauvreté.

-M’mande pardon m’sieur charest, je déteste vos p’tits sourires condescendants et sarcastiques, qui ne servent qu’à démontrer votre manque de respect pour ceux qui pensent différemment de vous.

-M’mande pardon m’sieur charest, je ne digère toujours pas le fait que vous ayez scrappé des conventions collectives pour lesquelles nous nous sommes battus pendant une trentaine d’années, que vous nous ayez imposé nos conditions de travail jusqu’à 2010, par des lois adoptées sous le baillon.

-M’mande pardon m’sieur charest, je ne voterai pas pour vous, jamais.

-M’mande pardon m’sieur charest, vous ne parler jamais de votre bilan, vous vous attaquez toujours aux autres. Est-ce parce que vous n’avez rien fait depuis six ans?

-Je ne comprends pas pourquoi vous êtes en avance dans les sondages, malgré que la population ne veuille pas de vos élections. À ce que je sache, Je me souviens est encore la devise des Québécois. Cependant, il m’arrive de penser que cette devise ne devrait plus être la nôtre.

Lo x

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