…à Miramichi.
En voyage, lorsqu’il tombe des cordes, le camping en tente confortable est exclu.
C’était le cas à Miramichi. Nous avons donc consulté le guide touristique du Nouveau-Brunswick. Nous avons choisi trois options, afin d’aller vérifier sur place ce qui s’offrait de mieux, rapport qualité/prix.
Au premier endroit, sur la rue King Georges, il ne restait que trois chambres, dont deux pour les fumeurs. Nous sommes allés les visiter. Pouah! Une odeur de vieux cendrier envahit nos pauvres narines instantanément. Pas question de crécher ici.
Deuxième endroit, cette fois sur la rue King, décidément les Néo-Brunswickois sont fort sur ce nom; l’endroit ressemble à un hôtel de passe, celui où les couples qui se sont formés le soir même viennent compléter leur formation, pour se déformer au petit matin. Le tenancier nous reçoit vêtu d’une camisole noire et d’un bermuda de la même couleur. Il a la bouille d’un pitbull. Nous lui demandons de visiter ses chambres. Il acquiesce avec une hésitation fluorescente. Durant la visite, il voit bien que ses chambres nous répugnent davantage qu’ils nous attirent. Il met fin brusquement à la visite disant qu’il est occupé à autre chose. Son visage exprime toujours le désagrément que nous lui causons. Je crois qu’il aurait aimé nous fourguer ses taudis de chambres en échange de notre argent.
Lorsque nous sommes partis, il est sorti dehors pour nous garrocher son regard d’aigle affamé.
Nous avons finalement jeté notre dévolu sur l’hôtel Econo Lodge; plus dispendieux, plus calme, plus civilisé, plus propre, avec le petit déjeuner inclus; le paradis à Miramichi.
Lo x
En voyage, lorsqu’il tombe des cordes, le camping en tente confortable est exclu.
C’était le cas à Miramichi. Nous avons donc consulté le guide touristique du Nouveau-Brunswick. Nous avons choisi trois options, afin d’aller vérifier sur place ce qui s’offrait de mieux, rapport qualité/prix.
Au premier endroit, sur la rue King Georges, il ne restait que trois chambres, dont deux pour les fumeurs. Nous sommes allés les visiter. Pouah! Une odeur de vieux cendrier envahit nos pauvres narines instantanément. Pas question de crécher ici.
Deuxième endroit, cette fois sur la rue King, décidément les Néo-Brunswickois sont fort sur ce nom; l’endroit ressemble à un hôtel de passe, celui où les couples qui se sont formés le soir même viennent compléter leur formation, pour se déformer au petit matin. Le tenancier nous reçoit vêtu d’une camisole noire et d’un bermuda de la même couleur. Il a la bouille d’un pitbull. Nous lui demandons de visiter ses chambres. Il acquiesce avec une hésitation fluorescente. Durant la visite, il voit bien que ses chambres nous répugnent davantage qu’ils nous attirent. Il met fin brusquement à la visite disant qu’il est occupé à autre chose. Son visage exprime toujours le désagrément que nous lui causons. Je crois qu’il aurait aimé nous fourguer ses taudis de chambres en échange de notre argent.
Lorsque nous sommes partis, il est sorti dehors pour nous garrocher son regard d’aigle affamé.
Nous avons finalement jeté notre dévolu sur l’hôtel Econo Lodge; plus dispendieux, plus calme, plus civilisé, plus propre, avec le petit déjeuner inclus; le paradis à Miramichi.
Lo x
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