Lorsqu’il y a échange de prisonniers entre un gouvernement et une faction rebelle, il y a toujours un déséquilibre.
Exemple :
Un haut responsable du Hamas a laissé entendre que le soldat israélien enlevé Gilad Shalit ne serait pas rendu vivant si l'État hébreu ne libérait pas 350 prisonniers palestiniens.
Les négociations se déroulent souvent ainsi dans les conflits. Il me semble que ce n’est pas un grand témoignage de fierté. Moi, je négocierais du un contre un, pour laisser le message suivant : « Un de mes hommes vaut bien un des tiens! ». Là on sent plutôt que 350 de mes hommes valent un seul homme de l’ennemi.
J’y vois un déséquilibre; il représente probablement le réel rapport de force.
Lo x
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