À lire les témoignages de monsieur Karlheinz Schreiber, il me vient une idée.
À un chien on dit : « Donne la patte! », à un politicien fédéral on dit : «Graisse la patte ».
Le côté cynique de la chose, le seul qui porte des menottes est celui (Schreiber) qui a payé. Ceux qui ont reçu sont libres comme l’air.
Lo x
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