Impossible pour l’homme de vivre loin de l’eau. Depuis le Moyen-âge, l’homme construit autour de l’eau; château, bourgade, agglomération de maisons en pierre, il bâtit toujours près de cette eau nécessaire à sa survie.
Encore aujourd’hui, l’eau attire l’homme comme un aimant, le magnétise. Sur les îles, les maisons sont construites sur le littoral.
Ailleurs, les chalets, cabanes de chasse, toujours sur le bord des plans d’eau, là où le gibier vient boire.
Avec les changements climatiques, l’eau devient peut-être danger; on le voit lors des tornades, ouragans, cyclones. Ici au Québec, lors de la fonte des neiges le printemps et lors des fortes pluies.
Elle occupe les deux tiers de notre planète, ce qui vaut à celle-ci son surnom de planète bleue. Elle est essentielle au transport de toutes sortes, elle fait rêver les aventuriers de voyages et d’expéditions.
Sur la Côte-Nord, elle fait partie intégrante de notre histoire. Il n’y aurait pas de côte, s’il n’y avait pas de fleuve, pas de golfe sans le St-Laurent.
À tous les matins, je m’étire le cou pour voir la rivière Manicouagan, en allant travailler. Sa couleur m’intrigue, les vagues, les reflets. Impossible de faire autrement. La mer est bienfaisante pour moi, malgré un pied marin plutôt rond et un mal de mer toujours présent lorsque je prends le bateau, sans compter que je nage comme un boulet.
N’empêche, je ne pourrais me passer longtemps d’une vue sur la mer et de ses horizons.
Lo x.
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