[...] combien ce serait beau si, pour chaque mer qui nous attend, il y avait un fleuve pour nous. Et quelqu'un - un père, un amour, quelqu'un - capable de nous prendre par la main et de trouver ce fleuve - l'imaginer, l'inventer - et nous poser dans son courant, avec la légèreté de ce seul mot, adieu.
Alessandro Baricco
P.-S. : Il y a de ces jours, baignés de tristesse, de douleur, qui ne finissent plus.
Un collègue, un ami, nous a quittés aujourd'hui...
Nous le pleurons tous.
Lo x
2 commentaires:
Mes sympathies à vous et à tous ceux qui l'ont perdu comme ami -
Merci de votre sensibilité.
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