Congé pour Marlène et moi aujourd'hui, v'là l'printemps!
Dans ma vie, le printemps a toujours été une saison qui m'a rendu fébrile, pour ne pas dire vulnérable; un minus rayon de soleil se faufile entre deux cumulus ouateux, une brise de vent doux sur les joues, mon cerveau s'excite, se déconcentre et je deviens festif.
Deux jours plus tard, si une tempête de neige mouilleuse s'abat sur mon environnement, suivi de quelques journées froides et grises, j'veux déménager en Floride, aller travailler aux Bahamas, avoir une «run» de pain dans n'importe quel pays chaud. Fini les pneus d'hiver, les vêtements enveloppant, la face en grimace à cause d'un moins vingt, moins trente cinq avec le satané facteur vent.
Aujourd'hui, c'en était une vrai. Pas de vent, un soleil de plomb, un ciel bleu, mais bleu, pur, sans pollution, un vrai beau ciel de la Côte-Nord. On est allé marcher, pour ne pas dire glisser; c'était d'un calme. J'ai fait aller mon appareil photo, quelques «schklics» dérangeants pour les nombreux écureuils. Ramener quelques clichés.
Lo x
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