Quand on lance une roche planante sur l'eau, elle fait des petits rebonds... Voici quelques petits rebonds personnels irréfléchis sur l'actualité...
-J'ai trouvé humaine et honorable l'attitude du maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui a avoué avoir fait une erreur lorsqu'il a proposé dans son budget une augmentation de taxe, alors qu'un mois auparavant, il avait promis le contraire. «J’ai ébranlé, sans le vouloir, le lien de confiance que j’avais établi avec la population. Et je le regrette. Pour moi, cette confiance est essentielle pour développer et défendre les intérêts de Montréal», a-t-il déclaré.
-Il y aura le débat des chefs en français jeudi à la télé de Radio-Canada ou RDI, ou... bof, je m'en «contrefout» royalement. Le reportage à l'émission l'Épicerie de mercredi soir m'intéresse davantage; ils nous diront quels sont les cretons que nous devrions acheter, rapport qualité-prix.
-Ceux qui lisent ce blogue régulièrement savent à quel point je ne «trippe» pas sur les partis libéraux, provincial, ou fédéral. Mais je dois reconnaître le bon travail du ministre de l'Environnement Stéphane Dion, lors de la conférence internationale de Montréal sur les changements climatiques.
-Il y a encore eu un séisme entre le Pakistan et l'Afghanistan. On dirait que Dame Nature a pigé leurs numéros. C'est une des régions où la vie quotidienne est le plus difficile sur cette planète. Avec l'hiver et les séismes qui se suivent, oufffffffffffff.
-Voici quelques rebonds du candidat du Parti vert de Manicouagan, Jacques Gélineau.
*« Il faut bouger. Je crois qu'il faut que chaque citoyen fasse un effort pour sauver la planète. C'est un peu ce qui me guide moi: sauver la planète, puis faire une gestion responsable »
*« Je ne comprends pas, moi, qu'à l'époque où on est et avec les préoccupations majeures tant sur le plan forestier que sur celui des pêches, on voit encore des biologistes qui ne peuvent se trouver de l'emploi. Je crois qu'il faut changer de cap »
*« Il faut encourager les entreprises avec des mesures fiscales, que ce soit avec des crédits d'impôt ou avec des exemptions, pour les pousser à faire une gestion responsable. Et, souvent, ça s'accompagne d'un bénéfice pour les entreprises. C'est souvent une question d'imagination».
Lo x
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