14 décembre 2005

Et merde au parti libéral qui nous a déclaré la guerre...

Une vieille chanson floklorique, composée par je ne sais qui disait : Et merde à la reine d'Angleterre qui nous a déclaré la guerre. J'ai un peu changé les paroles, juste pour calmer ma colère et ma déception.

Les « décréteurs » vont décréter. Les poseurs de bâillons vont baîllonner.

Je viens de me faire voler par les faiseurs de lois. On aura des baisses d'impôt en avril, gracieuseté des employés de l'état.

Moi, je suis un motivé. De par mon travail, je veux aider les gens, je veux être utile, je suis un aidant naturel. C'est ma source de motivation, de valorisation. Hélas, certains à Québec ne le reconnaissent pas. Rien, tu mérites rien. Ta job pis ta gueule!

Je dois me résigner, mais ça m'écoeure.

Je me souviens.

Moi je vais me souvenir. Pas d'argent pour moi pour les deux dernières années travaillées, malgré une augmentation du coût de la vie, dont une grande part est due à l'incompétence de ce gouvernement. Il économise sur mon dos et sur celui de mes collègues, pour garrocher de l'argent aussitôt les prochaines élections annoncées, comme ses cousins fédéraux, vous savez, ceux du scandale des commandites...

Moi je vais me souvenir. Le pire, c'est que dans mon comté, ils vont avoir de la difficulté à se trouver un candidat, comme leurs cousins fédéraux. Ils vont peut-être essayer de se pogner un poisson au large...

J'ai hâte de voir si les minustres auront le courage de venir sur la Côte-Nord, faire leur cabale. Ils n'ont même pas eu le courage d'aller défendre leur position à l'émission La part des choses de Bernard Drainville ce soir.

Honte à toi jean charest, premier minustre du Québec, en minuscule évidemment, comportement oblige. Honte à toi monique jérôme forget, présidente du conseil du trésor, si belle. Honte à toi jacques dupuis, minustre de je ne sais quoi, au visage si angélique.

Tôt ou tard, vous paierez pour tout ce que vous n'avez pas fait et tout ce que vous avez fait de travers. Vous avez pris une décision et on sent votre malaise, votre peur. Lorsque cette province sera un pays, votre parti n'aura même plus sa raison d'être. J'espère avoir la chance de voir vos faciès défaits.

Dans mon coeur, messieurs charest et dupuis, madame forget, vous resterez toujours des minustres.

À mes lecteurs, excusez ma déception, mon amertume, ce texte est ma pilule. Mande pardon de l'avoir prise devant vous.

Lo x

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