3 mars 2005

Béni-oui-oui...

Quand je parle de Jean Charest dans ce blog, immédiatement après, il y a un sondage qui confirme ce que je pense de lui et de son parti. Il est rendu plus impopulaire que son parti et le pire c'est que le chef péquiste Bernard Landry ne fait pas mieux. Il y a eu tellement de scandales comme celui des commandites, tellement de mauvais choix, tellement de propos stéréotypés influencés par les sondages, que le mot politique est devenu péjoratif. Il faut vraiment être béni-oui-oui pour ne pas penser ainsi en 2005. Les leaders politiques de plusieurs pays créent toutes sortes d'assentiments envers leur métier. On a qu'à penser à ceux du Québec et du Canada, celui des États-Unis, celui de la Russie, et même celui d'Angleterre.

Ouais, je ne veux surtout pas être considéré comme un béni-oui-oui.

Béni-oui-oui : n. m. [Familier] Personne qui approuve systématiquement toutes les initiatives d’un pouvoir établi.

Lo x

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