Que se passe-t-il?
Tout le monde s'insurge contre l'article de Jan Wong, publié dans le prestigieux Globe and Mail de samedi dernier.
Dans son texte elle prétend que les trois incidents du genre de celui de Dawson, survenus dans des établissements d'enseignement québécois depuis 1989 trouvaient leur source dans la « marginalisation » des immigrants et des anglophones causée par « l'infâme loi 101 ». Et elle ajoute : « Les gens de l'extérieur ne peuvent comprendre à quel point plusieurs décennies de luttes linguistiques ont été aliénantes dans cette ville jadis cosmopolite », écrit Miss Wong.
De la foutaise et de la connerie a l’état pur.
Ceux qui ont pris la défense du Québec sont les fédéralistes jean charest, stephen harpeur et andré pratte. C'est à eux que ça fait mal parce que cela ne fait que renforcer le dégoût de plusieurs québécois pour la pensée rétrograde et rétrécie de quelques anglophones francophobes. Cela ne fait que refléter l’incompréhension qui existe entre les deux solitudes. Je crois même que c’est réciproque. Les québécois n’ont sûrement pas une idée juste de ce que vivent les gens de la Colombie-Britannique ou de Terre-Neuve.
Moi, je ne m'en fais pas outre mesure. Je crois que le Globe and Mail est une tribune prestigieuse et s'en servir pour dire une connerie ne fait que rendre le con encore plus con, devant plus de gens. Miss Wong, communiquez avec Guy Fournier, vous aurez un aperçu du dommage que peut faire une connerie. Sur votre calepin de note il devrait y avoir cet avertissement : Déconner peut faire mal et envoyer le con au chômage.
De plus, Miss Wong a été invité à venir expliquer son point de vue à l'émission Tout le monde en parle et elle a refusé. Pas trop courageuse miss Wong.
Assez parlé de connerie et de son porteur, le con. Dans le mot connerie, il y a la syllable rie, alors rions d’elle.
Lo x
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