3 mars 2018

Conclusion, ses pattes sont mouillées...

6 commentaires:

Anonyme a dit...



Bonsoir Lawrence

Hier soir j'ai vu le dernier film de Bernard Emond, hiiiiii ( j'ai tout vu les autres )je ne serai pas surprenante, mais j'ai tellement et tellement penser à vous. Vous à Baie Comeau. Vous dans l'hiver à chaque année. Vous que je ne connais pas intimement et qui vivez " cette saison " si intense d'intériorité, si allongée d'émotions et de vues, bien vues.

Vous permettrez que je vous dise " cela " Lawrence. J'avais compris et je comprends de nouveau que " les bateaux " sont votre premier horizon.

Je pense à Vous et je suis heureuse de vous courrieller depuis ahhhhhhhh 2009 !

Merci beaucoup Lawrence de nous transmettre cette poésie visuelle de votre quotidien ( et bien plus d'autres yayahouuu !!! )

Du fond de quoi donc ? Du fond de moi Lawrence !!!

G.B.

Lawrence a dit...

Bonjour Ginette,

Je vous trouve chanceuse d'avoir vu le dernier Bernard Emond. Il se pourrait qu'il prenne l'affiche ici aux alentours de la mi-mars.

Vos mots me font plaisir. Le temps passe vite, je ne me souvenais plus du début de vos visites sur ce blogue. Déjà huit ans.

Je suis heureux que ces photos de mon coin de pays vous ravissent. Parfois, je pense avoir fait le tour du jardin, mais je continue à observer cette nature qui semble vouée à disparaître à long terme.

Je vous fais la bise et que ce dimanche soit bien pour vous.

Lawrence x

Anonyme a dit...



Bonjour Lawrence !

Ah ! suite d'hier pour relativiser que les bateaux ne sont probablement pas " votre " premier horizon, sûr qu'il en existe d'autres dotés d'une prépondérance , mais disons de ma part qui habite la ville... qu'ils apparaissent si présents à votre quotidien ces " gros habitants colorés " du grand fleuve. Et que dans ce film on en voit " un " chargé de symboles puisque c'est le traversier. Hiiiiii, ciel suis-je clair. M,enfin !!!!!

Bonne journée

G.B.

Lawrence a dit...

Bonjour Ginette,

Pour la petite histoire, le traversier est le trait d'union entre le présent et le passé.

Autrefois, les gens de la rive sud du Saint-Laurent sont venus défricher les terres et préparer le futur. Mon père et ses frères en ont fait partie. Certains sont restés sur la Côte-Nord, d'autres sont retournés au Sud. D'où l'importance de ce lien qui unit les deux rives.

La mer comme les bateaux sont notre horizon. Ils représentent les grands espaces et un des moyens de les visiter.

Mon père a longtemps travaillé sur la Côte-Nord. Il est allé partout, jusqu'aux confins du Labrador. Tout petit, du Matane de mon enfance, je me souviens d'avoir regardé les montagnes de la Côte-Nord qui se profilaient, d'avoir imaginé mon père braver la forêt et ses bêtes sauvages. Il y avait déjà la mer et les bateaux comme horizon.

Bon dimanche Ginette.

Lawrence x

Anonyme a dit...

Ce sont tes pattes ?!? :-)
Jojoxxx

Lawrence a dit...

😊😊😊

Lo x